Si le sujet du trafic d’antiquités est apparu sur le devant de la scène médiatique ces dernières années, plus particulièrement en raison de l’activité de Daech – dont il serait une des principales ressources financières – il s’agit d’un trafic très ancien aux rouages particulièrement complexes [...].
Les fouilles clandestines, de grande ampleur sur des sites syriens comme Mari ou Apamée, furent présentées comme autant de preuves d’une attaque en règle du patrimoine archéologique syrien organisée par Daech.