D’après mon expérience en tant que procureur sur des affaires de violence sexuelle ou basée sur le genre, la cause profonde de cette violence est que culturellement, les femmes sont considérées comme des sujets (inférieurs) soumis à l’autorité des hommes. La prise de conscience des droits des femmes et des filles est très faible, surtout dans les communautés rurales.
J’ai l’impression que les personnes qui ne sont pas directement impliquées dans la gestion de ces affaires ont tendance à minimiser l’ampleur du problème.