Dans un parc près de la gare routière de Tel-Aviv, des dizaines de migrants africains attendent que des Israéliens viennent leur proposer un travail journalier, essayant de trouver de quoi vivre dans un pays où beaucoup ne veulent pas d'eux.
Il y a une semaine, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a douché les espoirs de milliers de clandestins soudanais et érythréens en annulant brutalement un accord avec l'ONU qui aurait permis à certains d'être réinstallés dans des pays occidentaux et à d'autres d'obtenir un permis de séjour en Israël.