Ref. :  000039966
Date :  2016-06-09
langue :  Français
Page d'accueil / Ensemble du site
fr / es / de / po / en

Syrie. Quel jeu diplomatique des puissances dans la région ?

Parmi les puissances moyennes et les grandes puissances, les positions de principe sur le conflit syrien ont été différentes. Londres s’est montré en retrait ; Paris a été enfermé dans son « ni-ni » (ni l’État islamique ni Bachar el Assad), qu’elle a encore systématisé en septembre dernier...


image


Des soldats de Jaish al-Izzah, une branche de l'Armée syrienne libre, le 28/5/16• Crédits : Khalil Ashawi



en réclamant le départ de Bachar el Assad, prérequis à toute négociation. Les États-Unis ont été plutôt changeants. Quant à la Russie, elle a paru mettre en œuvre la diplomatie la plus claire, qu’on le veuille ou non, qu’on l’apprécie ou non.

Les raisons qui ont présidé à l’engagement de la Russie aux côtés du régime syrien sont connues. Parmi les motivations politiques : il s’agissait d’un vieil allié au Proche-Orient ; Moscou a craint la chute rapide du régime à l’été 2015 et la dispersion des islamistes radicaux russes engagés aux côtés de l’État islamique (y compris jusque dans le Caucase) ; la Russie ne pouvait pas laisser seuls les États-Unis dans la sous-région et souhaitait occuper une position de force dans les futures négociations ; etc. D’où, entre autres, le discours du président Poutine à l’assemblée générale de l’ONU en septembre dernier, appelant à une « véritable et large coalition antiterroriste internationale », puis le début des raids aériens russes en Syrie.

Intervenants

Eugène Berg : ancien amassadeur, auteur de "La Russie pour les nuls" (First éditions)




Pays : 
- Syrie   
- Russie   

Notez ce document
 
 
 
RECHERCHE
Mots-clés   go
dans 
Traduire cette page Traduire par Google Translate
Partager

Share on Facebook
FACEBOOK
Partager sur Twitter
TWITTER
Share on Google+Google + Share on LinkedInLinkedIn
Partager sur MessengerMessenger Partager sur BloggerBlogger